Les cabaret poème sont des espaces-temps magiques et singuliers qui mêlent différents univers et pratiques artistiques. A qui appartient la poésie ? Cette question est le point de départ de ce format itinérant imaginé par Lylybeth Merle, artiste multiple et royale maîtresse de cérémonie.
Avec cette nouvelle création, Florence Minder continue son exploration du réel et convoque l’invisible comme puissante source d’imaginaires. Décloisonnant l’art, elle met la technique au service de la poésie. Ainsi, la gravité devient lumière et les sons prennent forme dans cette fable pleine d’humour sur la transmission de possibles.
BODIES UNBOUND est un spectacle poignant mêlant théâtre et danse qui explore l'interaction complexe entre le corps humain et le genre.
La douceur radicale de dire, en voix et en musique, les écorchures.
Cette année, Lundi en coulisse accueille l’artiste multidisciplinaire, auteur·ice et slameur·euse, Marie Darah, dont les mots à fleur de peau traversent et incarnent notre saison, afin de découvrir les textes qui la·e touchent tout particulièrement.
Dans cet atelier d’écriture chronométrée, nous utiliserons le temps comme inépuisable ressource d’imaginaires.
Danse macabre : Les matières sombres est une explosion d’images où la beauté et l’horreur se superposent de façon quasi mystique, avec la même puissance hypnotique qu’un scroll de plusieurs heures. Les matières sombres sont celles qu’on observe et convoque avec un attrait morbide inavouable.
Désobéir claque dans les airs, c’est cinglant, incisif et puissant comme ce qui nous est raconté : quatre femmes reprennent le pouvoir sur elles-mêmes et cherchent l’équilibre entre s’émanciper des récits hérités qui conditionnent, tout en embrassant leurs identités multiples.
Du thriller théâtral au concert électro-slam, trois comédiennes-chanteuses incarnent les métamorphoses d’une adolescente, dans une adaptation coup de poing du roman « Le mur des apparences ».
ANNULÉ - Dans le concert Punch Live (en représentation le 19 octobre au Varia), les trois comédiennes-chanteuses interprètent 12 chansons à la poésie brute.
Sur fond de procès dans un univers dystopique, Sauvez Bâtard est un récit cyberpunk, à la fois sombre et drôle. Au cœur d’une urbanité désolée, la pièce convoque les amours queers et un langage libre et poétique.
À la croisée de la conférence scientifique, du théâtre documentaire et du « two men show », NOCEBO tente l’impossible : rétablir la confiance en notre propre futur.
Un solo en anglais est aussi drôle que dérangeant, détournant les codes de la comédie stand-up et naviguant entre humour et tragédie, pour libérer notre imagination face aux chemins tortueux du deuil et de la résilience.
Un spectacle entre le théâtre et le cabaret, dans lequel quatre performeur·euses et une maitresse de cérémonie explosif·ves font l’éloge de la folie.
Feu les animaux est une invitation à réinventer nos rituels autour de la mort, à en alléger le poids et la célébrer autrement.
La nouvelle création de Leslie Mannès convoque l’énergie vitale de la danse comme possible résilience.
Après une fulgurante passion amoureuse, un acteur fait le tri dans ses souvenirs, avant de rentrer chez lui.
Comment partir d'une matière intime pour la transposer, la sublimer en geste artistique ?
Penda Diouf et Silvia Costa mêlent les temporalités et les rêves dans un récit de sororité fusionnelle. Alors que la rupture s’annonce, les souvenirs vécus ou imaginés remontent et fissurent le récit familial.
Une troupe d’acteur·ices amateur·ices et d’artistes nous entraîne dans une balade théâtrale, musicale et dansée, librement inspirée de Tchekhov.
Aussi drôle que profond, un récit initiatique pour petit·es et grand·es, dans lequel la magie perfore nos failles les plus intimes, pour venir à bout des mystères qui s’y cachent.
Un spectacle tendre et profond, faisant l’éloge de la vulnérabilité et de l’imaginaire, comme inépuisables sources de vie.
Rectum Crocodile sonne comme le titre d’un roman noir et décalé, mais c’est un conte fabuleux où les personnages défilent dans de magnifiques parures. Ainsi, fantômes, humain·es et bêtes se mêlent, les arbres parlent, et collectivement, ce beau monde tente d’expier un colonialisme tenace.
Une performance de danse où le besoin de collectivité se heurte à la culture individualiste occidentale. "Si je suis là pour toi, tu seras là pour moi ?"
Dans une maison de campagne, le temps est une longue attente. La seule échappatoire de ses habitant·es est d’imaginer l’ailleurs. On suit le cours d’une vie comme celui des conversations. Pourtant, si on parle de tout, c’est pour mieux étouffer l’essentiel. Jasmina Douieb ausculte une dynamique familiale, minée par le secret.
Roméo et Juliette habitent et influencent l’imaginaire amoureux occidental depuis longtemps. Mille fois incarné·es, réinterprété·es, repensé·es, i·els semblent être les icônes éternelles de l’amour-passion. Mais de quoi ce mythe est-il le reflet à l’ère où on tend à le déconstruire ?
Un solo chorégraphique et poétique sous forme de rituel de désaliénation. Pour retrouver son pouvoir et redevenir l’interprète de sa vie.
Une enquête au cœur d’une affaire de disparitions mystérieuses...
Une piscine vide et la nuit comme espace tampon où le conscient et l’inconscient se rejoignent, un plongeoir, une insomniaque en maillot de bain. Plonger est une brèche sublime dans la nuit, une ode au risque et à la vulnérabilité.
En quatre épisodes présentés lors d'une même représentation, un passionnant chantier théâtral et documentaire, qui plonge dans notre Histoire pour interroger la représentation et la répression de mouvements de résistance.
Dans le cadre du spectacle Laboratoire Poison d’Adeline Rosenstein, le Rideau et le Varia invitent le Collectif Mémoire Coloniale et Lutte contre les Discriminations (CMCLD) pour une balade décoloniale guidée.
Un voyage sensoriel à travers les différentes facettes de l’œuvre de Raymond Carver, à la lisière de l’intime et de l’étrange, exalté par la chaleur et la douceur du soleil.
L’histoire on pense la connaître : celle d’un savant à la quête folle, né sous la plume de Marie Shelley, qui donne lui-même naissance à un « monstre ». Frankenstein nourrit la culture pop depuis notre enfance et pourtant, on le redécouvre sous un autre jour.
après son premier spectacle wireless people, la collective du même nom, composée de greta fjellman et maïa blondeau, continue d’explorer les rapports au numérique. cette fois-ci, i·els abordent la question de l’amour et ses formes multiples, à l’ère de l’hyperconnexion.
La révolution d’une marionnette qui n’en peut plus d’être dirigée et aimerait commander à son tour.
Malgré tout a des airs de farce et pourtant laisse transparaître quelque chose d’inquiétant. C’est un éveil à la démocratie qui chancelle, un appel à l’intelligence et la vigilance.